« Mes enfants »
Vous qui m’abreuvez à la source
D’une fraîcheur d’âme et de cœur
Au bord du rire et de la fleur
De l’âge où rejaillit ma course
Eternels boutons dans mes champs
De nuits et d’hivers que ressource
L’aube candide de vos chants
Vous, tendres oiseaux de passage
Au ciel redonnant un visage
Vous aurez été « mes » enfants !
A mes élèves….
domi